Vous avez des doutes ou des interrogations ? Voici les réponses aux questions que l’on nous pose le plus souvent.
En Suisse, les couples non mariés ne bénéficient d’aucune protection légale spécifique. Nous vous aidons à rédiger une convention de concubinage claire et sur mesure, afin d’anticiper les conséquences d’une séparation ou d’un décès, d’organiser la répartition des biens et d’assurer une transparence financière dans votre couple.
Oui. Même si elle n’est pas régie par une loi particulière, une convention bien rédigée constitue un contrat valable entre partenaires. Nous nous assurons qu’elle soit rédigée dans le respect du droit privé suisse.
La convention de concubinage constitue une base solide pour encadrer les aspects patrimoniaux et organisationnels de la vie commune. En cas de séparation amiable, elle est généralement respectée par les deux parties.
Cependant, en cas de conflit porté devant un juge, ce dernier n’est pas obligé de considérer les termes de la convention, surtout si des dispositions de droit supérieur — notamment celles liées à la protection de la famille (intérêts des enfants, devoir de solidarité, etc.) — doivent s’appliquer.
Bien sûr. La convention peut être revue à tout moment d’un commun accord. Nous sommes là pour vous accompagner dans sa mise à jour en fonction de l’évolution de votre situation.
L’idéal est de mettre en place la convention dès le début de la vie commune ou au moment où vous commencez à partager des charges, des biens ou des projets financiers ensemble (achat immobilier) ou la naissance d’un enfant. La présence d’enfants communs est l’un des éléments les plus sensibles et importants à encadrer dans une convention, elle soulève de nombreux enjeux : responsabilités financières, logement, gestion en cas de séparation ou de décès, ou encore l’impact sur votre prévoyance retraite.
L’idéal est de mettre en place la convention dès le début de la vie commune ou au moment où vous commencez à partager des charges, des biens ou des projets financiers ensemble (achat immobilier) ou la naissance d’un enfant. La présence d’enfants communs est l’un des éléments les plus sensibles et importants à encadrer dans une convention, elle soulève de nombreux enjeux : responsabilités financières, logement, gestion en cas de séparation ou de décès, ou encore l’impact sur votre prévoyance retraite.
Oui. En Suisse, il est possible de modifier votre régime matrimonial devant notaire, avec l’accord des deux conjoints.
Pas nécessairement. Il peut engendrer des déséquilibres, surtout si les apports ou les investissements des conjoints ont été inégaux.
Parce que c’est bien plus simple quand on peut y réfléchir ensemble, autour d’une table, calmement et sans urgence.
Selon votre situation, elle peut inclure la rédaction d’un testament, un pacte successoral, des donations, la désignation de bénéficiaires, ou des conseils fiscaux.
Absolument. Une succession organisée évite bien des complications à vos proches. L’important, c’est de rendre les choses claires.
Nous vous aidons à faire le point sur votre patrimoine, à comprendre les implications juridiques et financières, et à vous organiser en collaboration avec votre avocat. Notre rôle est de vous apporter un regard structurant, objectif et bienveillant dans une période souvent chargée.
Beaucoup de personnes doivent, pour la première fois, gérer seules leurs finances. Nous vous accompagnons dans cette phase : budget, projections, fiscalité, documents administratifs, tout ce qui vous aide à reconstruire une base solide.
Oui. Même plusieurs années après un divorce, nous accompagnons nos clients pour clarifier leur situation patrimoniale, réorganiser leurs priorités et renforcer leur sécurité financière.